Dans "Cahors, municipales 2014 : un enjeu départemental majeur" ne figurent pas les réponse de madame Geneviève Lagarde... Elle n'a pas daigné répondre. Les questions sont sûrement plus importantes... Elles ont été publiées...
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Bonsoir madame LAGARDE,
N’ayant pas reçu de réponse mais votre adresse mail étant toujours active : comme annoncé sur cahors.pro, publiant dans quelques jours un livre sur les élections municipales de Cahors, et plus généralement la politique dans le Lot, je souhaiterais réaliser votre interview, par mail...
Je vous envoie donc quelques questions. Elles seront publiées avec ou sans réponses dans ce livre (si elles arrivaient après la publication, elles figureraient dans une "version 2" qui sera éditée si des personnalités sollicitées me répondaient après le bouclage... le livre est terminé, il ne manque plus que ces interviews)
- M. Miquel ayant annoncé quitter la présidence du Conseil Général, serez-vous candidate à sa succession dans quelques semaines ?
- Seriez-vous choquée si M. Miquel, maire d’une commune de 220 habitants, ravissait la présidence du Grand-Cahors au maire de Cahors ?
- Récemment j’ai souri... en lisant le peu d’informations qui me sont parvenues des déclarations lors de votre réception des insignes de Chevalier de l’ordre de la légion d’honneur... « Comment parler de moi sans évoquer les événements de mai 1968, auxquels l’adolescente que j’étais a participé. Ce printemps s’en est allé, je suis heureuse d’en avoir conservé les stigmates subversifs. » Quels sont ces stigmates subversifs vous demande un écrivain né en 1968, ignoré dans la région car en profession libérale auteur-éditeur ?
- Le Lot a totalement raté le virage de l’Internet, vers l’an 2000. Ainsi, pensant se réveiller, des élus nous souhaiteraient utilisateurs... après avoir freiné au maximum les innovateurs du net. Ainsi, dans nos campagnes, le nombre de maisons à vendre semble s’accroitre inexorablement. Quelle solution voyez-vous pour éviter que nos villages, dont certains ont vu leur population réduite de 70% en un siècle, soient rayés de la carte, transformés en zones plus ou moins touristiques ?
- Durant quatre années, il a existé un salon du livre à Cahors, organisé au profit des libraires. Après des états généraux de la Culture, le maire n’a pas semblé penser qu’un salon du livre soit important dans le Quercy... quelle est votre position ?
- Avez-vous lu "Des racines, des combats et des rêves" de Martin Malvy, publié le 7 octobre 2010 ? Si oui, que pensez-vous de la manière dont il relate la vie de son grand-père ? Sinon, je vous en conseille la lecture, non pour la qualité de la plume mais pour cette narration.
- Peut-être terminerons-nous l’année avec Gérard Miquel patron du Grand-Cahors et Martin Malvy du Grand-Figeac... que vous inspire ce futur ? (n’oubliez pas vos stigmates subversifs)
- Cahors et Figeac regroupent 30 000 des 175 000 habitants du département. Pourtant, en contrôlant Cahors, Figeac et le Conseil Général, deux hommes tiennent, via les subventions et le jeu du pouvoir, l’ensemble de la population. Sentez-vous montez un vent de révolte dans les campagnes, accentué par le transfert à de grandes intercommunalités des pouvoirs encore récemment au cœur des communes ? (merci d’éviter de considérer ce résumé trop rapide, je le développe dans l’essai)
- Comme vous le savez, à Cahors, dans le cimetière derrière les remparts, les vieux morts doivent laisser la place aux jeunes...
La concession numéro 496 fut achetée à perpétuité par "Famille Lagarde."
Est-ce vos ancêtres qui disparaîtront bientôt de cette tombe ?
Pensez-vous qu’il soit correct d’ainsi exclure du cimetière des familles qui ont acheté des concessions en se fiant au sens de l’expression "à perpétuité" ?
- Avant chaque représentation politique, quel hymne soixante-huitard fredonnez-vous, madame Lagarde ?
- Vous vous sentez plus proche de Christine Lagarde, la directrice du FMI, ou Guy Lagarde, le maire de Montcuq ?
Qui suis-je pour ainsi me lancer dans cette aventure périlleuse et inédite ?
Lotois depuis 1996. Six romans, vingt pièces de théâtre, donc certaines pour enfants traduites en anglais, allemand, espagnol, des essais, des textes pour la chanson. Un écrivain pauvre, sous le seuil de pauvreté. Auquel M. Malvy ne reconnaît pas la qualité d’écrivain, au Centre Régional des Lettres qu’il dirige de fait, car en profession libérale auteur-éditeur.
Vous remerciant,
Amitiés,
Stéphane
Stéphane Ternoise
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Publié dans Cahors, municipales 2014 : un enjeu départemental majeur. Toujours le plus juste de documents sur la scène politique lotoise.
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