Quelques pages en miniature :
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Le livre sur un maître-verrier majeur : Gustave-Pierre Dagrant (1839-1915) aux oeuvres abondantes dans notre département : La route lotoise G.P Dagrant
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Cette route Dagrant, sur 31 communes, 33 églises lotoises. En 109 photos.
Les églises d'Albas, Arcambal, Bach, Caillac, Carnac-Rouffiac, Castelfranc, Cazals, Concots, Cremps, Douelle, Duravel, Fargues, Flaugnac, Grezels, Labastide-du-vert, Laroque-des-Arcs, Les Junies, L'Hospitalet, Mauroux, Montcuq, Puy-l'Évêque, Saint-Daunès, Saux, Sauzet, Sérignac, St Vincent Rive d'Olt, Ste Croix, Valprionde, Varaire, Vaylats, Vire sur Lot.
Les oeuvres d'un créateur alors apprécié bien au-delà du sud-ouest... Gustave Pierre Dagrant fut peintre-verrier de la basilique Saint-Pierre de Rome (le Pape lui décerna même la croix de Saint-Sylvestre), il réalisa des vitraux de la basilique de Lujan (Argentine), le plafond en verrières de la Chambre des Représentants du Sénat de Bogota (Colombie)...
Et il travailla chez nous ! Et nos églises sont fermées !
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30 photos issues du livre La route lotoise G.P Dagrant dans un diaporama.
Avec les églises d'Albas, Cazals, Concots, Cremps, Fargues, Flaugnac, Labastide-du-vert, Laroque-des-Arcs, L’Hospitalet, Montcuq en Quercy Blanc, Puy-l’Évêque, Saint-Daunès, Sauzet, Sérignac.
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3) Le livre de 2024 : Henri Feur Vitraux 1879-1904 (Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne, Lot, Dordogne)
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Il ne s'agit donc pas d'un livre 100% lotois !
Né en 1837 à Bordeaux, où il succéda à Joseph Villiet en 1877, après avoir été son élève à partir de 1852 puis principal collaborateur, Henri Feur transmettra l’atelier à son fils en 1908. Le dernier âge d’or du vitrail était achevé.
Ces oeuvres, la République en préserve une partie, celles de "Monuments à valeur ajoutée touristique", le reste semble condamné à se dégrader dans l’indifférence, et l’invisibilité des églises fermées…
La chrétienté officielle accepte ce mépris par la "laïcité", nom derrière lequel la République matérialiste sans âme ni esprit, juste des corps activés par des désirs, impose son mépris de toute spiritualité
.
Ces vitraux témoignent d’un travail minutieux et d’une autre époque, d’une autre conception de la vie.
Huit églises en Lot-et-Garonne, Monflanquin 1879, Fumel 1881 et 82, Aiguillon 1883, Laroque-Timbaut 1884, Tonneins 1885, 86, 94 puis notre conclusion 1904, Villeréal 1887, Libos 1889 et 97, Prayssas 1891.
Quatre dans le Lot, Figeac 1883, Mercuès 1888, Sérignac 1890, Soturac 1892.
Quatre en Tarn-et-Garonne, sur deux communes, Saint Nauphary en 1893 et Montaigu-de-Quercy, paroisse de Sainte Cécile et centre historique en 1892, Goûts en 1895.
Deux en Dordogne, Molières 1882, Saint-Martial-de-Nabirat 1888 et 89.
Henri Feur Vitraux 1879-1904 (Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne, Lot, Dordogne)
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